"Nous avons beaucoup de grain à moudre". C'est ainsi que Cédric Villani, député LREM de l'Essonne et premier vice-président de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), a clos près de quatre heures d'auditions organisées le 21 février par l'Opecst sur le thème "Intelligence artificielle et données de santé: quelle collecte, quel accès aux données, pour quelles améliorations diagnostiques et thérapeutiques?".
Les échanges, qui ont réuni des acteurs publics et privés du système de santé, des chercheurs et des représentants d'associations de professionnels et de patients, visaient à éclairer les parlementaires, qui devront prochainement voter le projet de loi "relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé", dont une partie est consacrée au développement de "l'ambition numérique en santé" (titre III, articles 11 à 14).
Présenté en conseil des ministres le 13 février, le texte sera examiné en commission à l'Assemblée nationale à partir du 12 mars. Il prévoit, entre autres, la création du
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