Présentée à la presse le 12 décembre, l'étude de LaJaPF et d'Iqvia, réalisée avec le soutien du Leem, s'est intéressée à l'impact économique de la télémédecine sur les parcours de soins au travers de trois pathologies chroniques: l'hypertension artérielle, le diabète et le cancer de la prostate.
"Même si, par rapport à la Norvège ou le Canada, par exemple, la France a pris du retard sur la télémédecine, celle-ci s’impose comme une évidence aujourd’hui car elle permet de soigner avec la même efficacité que la médecine classique", a plaidé Philippe Lamoureux.
"Jusqu'à présent, nous manquions de données fiables pour évaluer l'impact de la télémédecine. Cette étude y répond et le Leem la promeut parce que son rôle est de plaider pour l'efficience de notre système de santé, rendue possible grâce aux progrès technologiques et au financement de l'innovation", a-t-il ajouté.
De leur côté, les laboratoires japonais présents en France perçoivent "un intérêt pour tout ce qui est relatif aux nouvelles technologies, donc à la télémédecine", a expliqué Patrick Errard, président de LaJaPF et d'Astellas France et
Pour modifier les paramètres de vos cookies, cliquer ici.
Vos réactions