Contactée par TICpharma, la HAS a indiqué que ce document comprendra "101 bonnes pratiques" visant à "promouvoir l'usage" et à "renforcer la confiance" dans les services de santé mobile.
Un "point d'étape" sur ce référentiel a été présenté lors d'une réunion de la commission des pratiques et parcours (CPP) de la HAS en septembre.
Le compte-rendu de la réunion, publié le 27 octobre sur le site de la haute autorité, rappelle que le référentiel portera uniquement sur les applications et objets connectés "n'ayant pas de finalité médicale déclarée". "Les dispositif médicaux en sont donc exclus", est-il précisé.
Réalisé à la demande de la Délégation à la stratégie des systèmes d'information de santé (DSSIS), le référentiel a été construit à partir d'une revue de la littérature et des contributions de professionnels de santé, chercheurs, spécialistes de l'ingénierie logicielle, experts dans le domaine de l'évaluation et représentants de patients. L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) et la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) ont également été sollicitée
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Vos réactions
paul
en effet, si les objets connectés en matière de santé et sécurité au travail recèlent de nombreuses potentialités opportunes, ils engendrent aussi des risques professionnels nouveaux plus difficiles à appréhender dont la gestion est complexe et encore incertaine… : http://www.officiel-prevention.com/sante-hygiene-medecine-du-travail-sst/appareils-de-mesure/detail_dossier_CHSCT.php?rub=37&ssrub=152&dossid=576
30/07/2018 Ă 09:02
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