Ces propositions sont issues du premier Healthcare Data Summit organisé en mars par le LIR-Imaginons la santé, en présence de représentants d'institutions publiques comme Bpifrance, la direction générale de l'offre de soins (DGOS) et la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Etaient également présents des acteurs privés comme le G5 santé, Cegedim et le cabinet de consulting EY, et d'autres think tanks tels que Renaissance numérique et le Healthcare Data Institute (HDI).
L'objectif des propositions est de remédier au retard pris par la France en matière d'exploitation des données de santé, pointé dans une étude réalisée par le LIR et EY (voir dépêche du 23 avril 2018), dans une optique d'amélioration des parcours de santé, de l'accès au marché pour les innovations et des traitement de données massives, notamment via les technologies d'intelligence artificielle (IA).
"Le potentiel d'usage et d'exploitation des données de santé en France est énorme", a reconnu Agnès Renard, directrice générale du LIR, interrogée le 20 juin par TICpharma. Elle
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