En parallèle aux discussions sur le projet de loi relatif à la protection des données (voir dépêche du 4 avril 2018), le LIR s'est interrogé sur l’usage des données de santé en France comparé aux pays anglo-saxons et nordiques.
Son étude, intitulée "Données de santé: nouvelles perspectives pour les acteurs et les systèmes de soins", s'adresse aux acteurs de santé publics comme privés. Elle a été menée sur la base d'une trentaine d’entretiens avec des spécialistes des données de santé en France et à l’étranger, de benchmarks internationaux et sectoriels, et de trois ateliers débats en présence d’experts publics et privés, indique le LIR dans un communiqué.
Avec le big data, le volume de données pourrait atteindre 2,3 milliards de giga-octets d’ici à 2020. Dans le même temps, plus de 50.000 applications de santé ont été recensées par la Haute autorité de santé (HAS) et le nombre d’objets connectés serait estimé à 80 milliards dans les deux ans.
Le LIR encourage donc "tous les acteurs de la chaîne de santé" à accélérer l
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