Le congrès international e-Health Research, organisé par l'Inserm les 11 et 12 octobre à Paris, a réuni des chercheurs de différents horizons pour débattre des questions nombreuses posées par l'arrivée massive d'objets et applications destinées au grand public, et qui peuvent avoir un intérêt en prévention de maladies ou chez des personnes souffrant de maladies chroniques.
Se posent "des questions éthiques, socio-économiques et technologiques: comment gérer les flux de données, comment les traiter", a souligné lors d'un point presse Guy Fagherazzi de l'Inserm.
Ces objets connectés donnant des informations notamment sur l'activité physique et le sommeil des patients pourraient apporter un bénéfice, soit en aidant des personnes en bonne santé à le rester, soit en permettant d'améliorer l'état de personnes malades, a souligné Elisabete Weiderpass de l'Institut Karolinska à Stockholm, présidente du comité scientifique du congrès. Mais il faut les évaluer.
Or, ces appareils, dans la majorité des cas, ne sont pas des dispositifs médicaux et peuvent être achetés partout. Ils n'ont pas été développés par des chercheurs et l'
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