"Nous avons enfin l'impression d'avancer". C'est par ces mots que le Dr Arnaud Lazarus, cardiologue à la clinique Ambroise-Paré à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), a qualifié l'état des discussions avec les institutions françaises sur le remboursement de l'acte de télésurveillance des prothèses cardiaques implantables (stimulateurs et défibrillateurs).
Le spécialiste, qui est impliqué depuis 2009 dans les travaux avec les pouvoirs publics pour obtenir le remboursement des actes réalisés par les professionnels de santé dans le cadre cette télésurveillance, a souligné "une ambiance de travail beaucoup plus positive aujourd'hui" avec les interlocuteurs de la Haute autorité de santé (HAS), de la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) et de la direction générale de l'offre de soins (DGOS) du ministère de la santé.
Il a indiqué qu'en France, environ 50.000 patients sont déjà porteurs de stimulateurs ou défibrillateurs implantables et suivis à distance par des professionnels de santé. "Le maillon qui nous manque, c'est le cadre économique, sans lequel on fragilise l'organisation du télésuivi et son
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