En finir avec le remplissage "fastidieux" et "laborieux" du carnet d'autosurveillance glycémique qui sert de base d'échanges entre le patient diabétique insulino-dépendant et son médecin, en partant des dispositifs médicaux déjà utilisés au quotidien: voilà l'objectif que s'est fixé l'entreprise Diabnext, fondée en 2015 et basée à Taïwan.
Lui-même diabétique de type 1, Laurent Nicolas a expérimenté les carnets d'autosurveillance papier, et la pléthore d'applications mobiles déjà disponibles pour mieux suivre son diabète. "En 5 ans, j'ai essayé la quasi-totalité des applications et j'ai constaté que j'arrêtais le plus souvent de les utiliser à peine 3 jours après les avoir téléchargées", a-t-il témoigné.
"Il est très difficile de forcer un diabétique à tenir à jour son carnet. Qu'il soit en format papier ou sur téléphone portable, il faut toujours saisir, ou écrire, les dosages d'insuline injectés, et les sucres consommés. Il m'est arrivé de voir des patients les remplir au dernier moment avant leur consultation avec un endocrinologue, avec des chiffres plus ou moins bidons. Avec Diabnext, nous avons voulu proposer le pr
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