Sur 3,5 millions de diabétiques diagnostiqués en France, près de 800.000 pratiquent l'auto-injection d'insuline une à 4 fois par jour. La plupart d'entre eux utilisent des stylos injecteurs. L'apprentissage du geste se fait essentiellement à l'annonce du diagnostic pour les diabétiques de type 1 ou lors du passage à l'insuline pour les diabétiques de type 2, à un moment où le patient reçoit beaucoup d'informations nouvelles et importantes.
Lors des consultations suivantes, l'attention des professionnels de santé, de l'infirmier ou médecin, est centrée sur l'équilibre du diabète, l'évitement des hypoglycémies, indique le fabricant américain de dispositifs médicaux dans un communiqué.
Alors que le geste est important car la juste dose d'insuline est aussi fonction de la qualité de la technique d'injection, beaucoup de patients n'appliquent pas une technique optimale. Cela a aussi pour conséquence des complications telles que la formation de boules de graisse, des douleurs, des saignements voire un impact sur l'équilibre glycémique.
La moitié des diabétiques traités par injections estiment avoir des lypohypertrophies, reflets d'un
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