Le Dr Fabrice Denis de l'Institut interrégional de cancérologie Jean-Bernard du Mans l'avait déjà montré lors de la précédente édition du congrès de l'ASCO, dans le cas du cancer du poumon avancé, avec l'application Moovcare.
L'étude présentée dimanche, au cours de la session plénière qui retient seulement 4 études sur les 5.000 présentées lors du congrès car elles sont de nature à changer les pratiques, souligne l'intérêt accru pour les symptômes rapportés par les patients eux-mêmes (PRO pour Patient-Reported Outcomes) en oncologie.
"Les symptômes sont fréquents en cas de cancers métastatiques, mais ils ne sont souvent pas détectés par les cliniciens avant de devenir sévères ou invalidants", a expliqué le Pr Ethan Basch du Lineberger Comprehensive Cancer Center à Chapel Hill de l'université de Caroline du Nord -mais qui était au Mémorial Sloan-Kettering Cancer Center (MSKCC) à New York quand il a conduit son étude.
Son équipe a émis l'hypothèse que les symptômes rapportés par les patients par internet conduiraient les cliniciens à intervenir plus tôt, et que cela améliorerait leur pronostic.
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Vos réactions
Un patient
En fait il faut lire : lorsque les médecins font leur travail de surveillance, les malades se portent mieux. C'est une découverte INCROYABLE !!!!
14/06/2017 Ă 10:38
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