L'étude, intitulée "Intelligence artificielle et action publique: construire la confiance, servir la performance", a été diligentée "à la demande du premier ministre", alors Jean Castex, et adoptée en assemblée plénière le 31 mars dernier.
Rendue publique le 30 août, elle doit permettre d'"alimenter la réflexion sur les concepts, les usages, les enjeux juridiques et éthiques et, plus largement, les conditions d'un déploiement pertinent et réussi des outils s'y rattachant au sein de la sphère publique, tant de l'État que des collectivités territoriales et des établissements publics, au service des citoyens et des agents publics", est-il expliqué en synthèse.
"Loin d'être un exercice académique, elle se conçoit comme une contribution à une stratégie de l'IA publique qui reste largement à structurer et à formaliser par les pouvoirs publics, dans le sillage de la stratégie nationale pour l'IA lancée en 2018."
"L'IA est, d'abord et avant tout, un ensemble d'outils numériques au service de l'humain. En permettant notamment la résolution rapide de problèmes grâce à un apprentissage automatique, elle offre une opportunité uniqu
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