Sur la scène principale de Vivatech, Emmanuel Macron a échangé avec quatre représentants de start-up triées sur le volet et incarnant la Healthtech, la Deeptech, l'Edtech (technologies de l'éducation) et la Greentech (technologies pour l'écologie). Pour la santé, le chef de l'Etat a répondu à une question de Franck Le Ouay, dirigeant de Lifen qui édite notamment une plateforme de coordination médicale pour les établissements de santé et les professionnels libéraux, concernant l'absence de modèle économique de l'e-santé en France.
"Il y a beaucoup d'innovations [en santé] qui se heurtent au fait qu'il n'y a pas de business model. Et donc, par exemple, si une start-up veut optimiser les parcours de soins, désengorger les urgences ou diagnostiquer les maladies rares grâce au big data, ce n'est pas facile de se faire payer pour cela", a déploré l'entrepreneur.
"Comment l'Etat, qui finance les acteurs de santé, peut travailler main dans la main avec les innovateurs, qui innovent aussi sur les business models, pour faire en sorte de fixer des objectifs communs?", a-t-il interrogé.
Remerciant les start-up de la santé numérique qui "con
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