Les organisateurs avaient préalablement soumis aux représentants des candidats une liste de 20 propositions issues du travail d'un groupe de 33 citoyens volontaires (cf encadré).
Il recommande notamment d'augmenter le volume maximal de téléconsultations de 20% à 30% ou 35%, de mettre en place un "don de données" similaire au don d'organe, de confier l'hébergement des données de santé à une solution française ou européenne, d'être attentif à l'exclusion numérique et d'améliorer la formation des médecins au numérique.
Les représentants des candidats ont pris la parole à tour de rôle pour réagir à ces propositions et exposer leur avis sur le numérique en santé. Tous les quatre ont mis en avant leur intérêt pour le système de santé et pour les propositions présentées.
"Le numérique en santé ne doit pas accroître les inégalités d'accès aux soins mais les réduire", a déclaré le porte-parole d'Anne Hidalgo (PS), Paul Chalvin, par ailleurs directeur délégué du CHI de Montreuil (Seine-Saint-Denis). "Nous devons réussir à réutiliser le temps gagné grâce au numérique pour les personnes les plus éloignées du
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