La fibrillation atriale peut passer inaperçue et rester non diagnostiquée. Elle expose cependant à un risque de morbidité, en particulier d'accident vasculaire cérébral (AVC).
Les dispositifs mobiles comme les montres connectées sont répandus et nombre d'entre eux ont des capteurs optiques de photopléthysmographie de pouls, mesurant la fréquence cardiaque, rappelle Steven Lubitz du Massachusetts General Hospital à Boston, dans sa présentation faite en session late-breaking science.
Des algorithmes analysant de façon passive les données de photopléthysmographie de pouls enregistrées peuvent détecter la présence d'une fibrillation atriale, mais une classification correcte des rythmes anormaux détectés est nécessaire afin de minimiser les notifications de faux positifs, souligne-t-il.
Son équipe a développé un nouvel algorithme de détection d'irrégularités du rythme cardiaque (IHRD), fonctionnant avec les dispositifs connectés de la société Fitbit proposant une surveillance continue du rythme cardiaque.
L'algorithme analyse des tachogrammes du pouls par tranches de 5 minutes et "chevauchants", pendant les phases d
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