Il s'agit de la suite des recommandations du rapport Bothorel, a indiqué le ministère dans la préface. Le rapport a donné lieu à une circulaire relative aux données publiée en avril.
"La donnée est au coeur de l'activité du secteur solidarités et santé", et son accès "un enjeu primordial pour la recherche", ainsi que l'a démontré la crise sanitaire.
"Les différents services rendus aux citoyens sont souvent gérés en silo, chacun par une entité spécifique. L'objectif est bien de parvenir à proposer à chaque citoyen le bouquet de services le plus complet et adapté à sa situation, et un accès facilité et le plus immédiat possible", de "disposer d'une vision globale de la façon dont les divers services et aides interagissent et se complètent", et "de conforter la confiance et de développer les interactions avec l'ensemble des acteurs, au-delà de l'État et de la sphère publique".
Le ministère "est conscient des enjeux et des possibilités qu'offre la mise à disposition des bases en open data", qui "contraint à un travail important de conception, de production,
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