Le groupe Bayer, qui a racheté Monsanto en 2018, avait estimé en 2019 que le fichage de personnalités effectué pour le compte de Monsanto en 2016-2017 pour obtenir la ré-homologation de son herbicide glyphosate européenne (contenu notamment dans Roundup, Monsanto) dans l'Union européenne ne serait "pas illégal". Cette pratique a été révélée en mai 2019 par Le Monde et France 2.
Plusieurs plaintes contre X ont été déposées par des personnes physiques et morales figurant dans les fichiers et une enquête préliminaire a été ouverte en 2019.
La Cnil a reçu 7 plaintes "émanant notamment de personnes concernées par ce fichier", a-t-elle fait savoir le 28 juillet.
"Le fichier en question contenait, pour chacune de ces personnes, des informations telles que l'organisme de rattachement, le poste occupé, l'adresse professionnelle, le numéro de téléphone fixe professionnel, le numéro de téléphone portable, l'adresse de messagerie électronique professionnelle et, dans certains cas, le compte Twitter."
De plus, "une note allant de 1 à 5 était attribuée à chaque personne, afin d'évaluer son influence, sa crédibilité et son
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