Créées par l'article 51 de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2018, ces expérimentations visent à tester des organisations innovantes et à améliorer la pertinence des prises en charge par l'assurance maladie, rappelle-t-on.
Parmi ces expérimentations, celle sur la prise en charge de la télésurveillance du diabète gestationnel entre dans sa phase finale.
Cette expérimentation, qui incluait initialement 3.000 patientes, a été élargie au début de la crise sanitaire liée au Covid-19. La mesure a été entérinée dans un arrêté publié au Journal officiel le 9 octobre 2020, qui autorise désormais l'inclusion de 6.000 patientes.
Le cahier des charges de l'expérimentation de prise en charge par télésurveillance du diabète gestationnel -dont les objectifs sont restés inchangés- envisage d’"améliorer la qualité des soins", de "réduire le nombre d'actes médicaux non nécessaires", d’"améliorer la qualité de vie des patients" et de "fixer un tarif préfigurateur du forfait
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