Le suivi par télésurveillance "conduit à la précocité de la pose du diagnostic et de la prise en charge thérapeutique du patient", a ajouté la HAS.
"Selon les experts [interrogés pour l'élaboration du rapport], ce raccourcissement des délais a un impact pronostique positif pour les patients au vu du risque de récidive de la syncope ou de l’AVC pouvant engager le pronostic vital du patient."
De plus, "le suivi par télésurveillance présente un intérêt organisationnel supérieur à celui du suivi conventionnel", à condition "de la mise en place d’une bonne organisation".
"Celle-ci comprend l’information, le recueil du consentement et l’éducation thérapeutique du patient, une répartition des tâches entre infirmier(s) et rythmologue(s) pour la gestion des données, une place limitée des consultations justifiées par des tracés pathologiques, l’intervention du fabricant pour résoudre les problèmes techniques, ainsi que l’envoi régulier de comptes-rendus du suivi par télésurveillance aux patients et aux différents professionnels de santé le prenant en charge", détaille la HAS.
Dans ces conditions, le patient peu
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