Cet accord de collaboration d'une durée de deux ans avec l'agence sanitaire américaine aura comme priorité l'échange de données relatives à l'oncologie, précise IBM dans un communiqué de presse.
L'objectif est de "définir un échange sécurisé, efficace et évolutif des données de santé" à l'aide de la blockchain, poursuit la société, citant plusieurs sources d'informations telles que les dossiers médicaux électroniques, les essais cliniques, les données génomiques et les données générées par des appareils mobiles et des objets connectés.
La blockchain est une technologie consistant à inscrire dans des blocs informatiques sécurisés et transparents toute transaction d'un objet numérique, approuvée par un réseau de tiers de confiance décentralisé.
Initialement utilisée pour assurer les échanges de monnaie virtuelle Bitcoin, elle a très tôt attiré l'attention du secteur bancaire, avant d'être étudiée de près par des acteurs de santé (voir dépêche du 16 décembre 2016).
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