L'accès aux données patients permet d’accélérer la mise sur le marché de nouveaux produits de santé et de faire réaliser des économies substantielles aux acteurs publics et privés de la recherche, rappelle-t-on.
Problème: si les études en vie réelle sont désormais utilisées pour l’aide à la décision en santé, elles comportent des risques de biais. Seuls une nouvelle méthodologie et des outils statistiques adaptés "peuvent optimiser leur niveau de preuve et d'acceptabilité" à l'heure du big data, a souligné Audrey Lajoinie, membre du groupe Real World Data de l'Afcros en introduction du colloque.
En outre, l’utilisation croissante et récente des données secondaires (comme les données de registres, de dossiers médicaux, médico-administratives,...) "soulève des questions quant aux précautions qu’il convient de prendre lors de la réutilisation de données dont la collecte a été pensée pour une autre finalité", a-t-elle alerté.
Invité à s'exprimer sur les attentes et les questions relatives au niveau de preuve de ces études, Hubert Galmiche, chef du service évaluation des dispositifs à la Haute autorité d
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