Le Comité analyse recherche et expertise (Care), installé le 24 mars pour conseiller le gouvernement, est notamment chargé de réfléchir à "l'opportunité de la mise en place d'une stratégie numérique d'identification des personnes ayant été en contact de personnes infectées".
Egalement appelée backtracking, cette stratégie utilise les données de géolocalisation des téléphones portables pour affronter l'épidémie. Elle est notamment utilisée en Corée du Sud et en Israël, note-t-on.
"Ce n’est pas la culture française et je fais confiance aux Français pour que nous n’ayons pas besoin de mettre en place ces systèmes qui atteignent la liberté individuelle de chacun", a ajouté Christophe Castaner.
Outre le ministre de l'intérieur, plusieurs responsables gouvernementaux se sont exprimés à ce sujet dès l'installation du comité.
Interrogée lors d'un point presse après l'installation de ce dernier le 24 mars, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal, a déclaré que "le rôle du Care est de regarder ce qui est possible techniquement".
"On est en train de travailler Ă
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