Plus de 4.400 sociétés exposantes, 250 sessions de conférences, 170.000 visiteurs issus de 160 pays et 11 sites officiels étendus sur plus de 250.000 m2 d'exposition, le cru 2020 du CES n'a pas fait mentir sa réputation de grand-messe de la tech.
Au travers de ses 36 catégories de produits, l'e-santé figurait, cette année encore, comme le deuxième secteur le plus représenté à Las Vegas, avec la "smart city" (ou ville intelligente).
Pourtant, la question de l’évaluation scientifique des solutions exposées était, elle, rarement avancée. Expliquer les approches développées pendant la construction d'un outil numérique est nécessaire pour démontrer sa fiabilité scientifique et clarifier son usage.
Alors que les dispositifs médicaux -tels que définis par la Haute autorité de santé (HAS)- sont soumis à des prérequis et conditions encadrant leur mise sur le marché, les objets connectés de santé qui ne sont pas classés comme étant des dispositifs médicaux et, a fortiori, ceux présentés sur les étals du CES, ne sont contraints à aucune obligation d'évaluation, quand bien même l'innovation impacte la prise en charge thérape
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