Cet algorithme utilisant l'intelligence artificielle (IA) a fait l'objet d'un article publié le 17 septembre dans le British Medical Journal (BMJ).
Baptisé iBox, "cet outil de prédiction individuelle de perte de greffon permet d'améliorer non seulement le suivi des patients, mais aussi d'optimiser le développement de nouveaux traitements immunosuppresseurs, en réduisant significativement la durée des essais cliniques", se félicitent l'AP-HP, l'Inserm et l'université de Paris dans un communiqué commun.
"Au cours des 20 dernières années, la survie à long terme des greffons n'a pas fait de progrès. La mise en oeuvre d'un tel outil de prédiction dans la pratique clinique faciliterait les interventions thérapeutiques en guidant la prise de décision clinique et faciliterait également les essais cliniques en transplantation rénale", ajoute le Paris Transplant Group, réseau de spécialistes de la greffe d'organes des grands hôpitaux parisiens, dans un communiqué distinct.
Pour cette étude menée par le Pr Alexandre Loupy de l'hôpital Necker-Enfants malades à Paris (AP-HP), les travaux ont été réalisés en collaboration avec huit centre
Pour modifier les paramètres de vos cookies, cliquer ici.
Vos réactions