L'instance est chargée de proposer au directeur général de l’ANSM, Dominique Martin, des recommandations à l’attention des fabricants de DM "de manière à ce qu’ils puissent prendre les mesures nécessaires pour prévenir toute attaque malveillante à l’encontre de leurs [produits] et ainsi empêcher la compromission des données et l’utilisation détournée des DM qu’ils mettent sur le marché".
Une première réunion a eu lieu le 29 juin et une seconde le 11 octobre.
L'ANSM explique qu'un nombre croissant de DM, qu’ils soient utilisés par des professionnels de santé à l’hôpital ou à domicile par des patients, sont aujourd’hui connectés. Ils peuvent donc partager des informations à travers des liaisons sans fil (bluetooth, wifi) ou par connexion physique à un réseau internet.
Les fonctionnalités de ces dispositifs couvrent l’échange de données (imagerie médicale, résultats de biologie), le pilotage du dispositif (programmation de pompes à perfusion ou de dispositifs implantables actifs), le suivi du patient à distance (surveillance de signes vitaux) ou la maintenance des produits.
Dans le compte rendu de l
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