Pierre-Alain Jachiet est arrivé à la HAS en septembre 2020 pour définir cette stratégie car les données sont "un enjeu transversal et majeur" pour l'institution, a-t-il expliqué.
Après une phase de développement de septembre à novembre 2020, elle est aujourd'hui "mise en œuvre" selon quatre grands axes, trois concernant les métiers et un l'organisation.
Le premier axe porte sur "les données produites par la HAS, leur usage, la culture de l'usage et les compétences".
"La HAS a un patrimoine de données de très riche et un outillage hétéroclite, ce qui entraîne une sous-valorisation des données dommageable", a constaté Pierre-Alain Jachiet.
L'idée est de "valoriser les connaissances produites par nos systèmes d'information [SI], par exemple en analysant les certifications d'établissements, pour piloter ce travail". Cette montée en compétences sur l'utilisation des données est "un socle pour faire ce travail d'analyse de données à l'extérieur" de la HAS, a-t-il ajouté.
Le deuxième axe, "central", concerne les données de vie réelle, c'est-à -dire les données de santé observationnelles et pas celles issues de l
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