"Une astuce cryptographique qui assure la traçabilité et la sécurité des échanges entre une chaîne de partenaires qui ne se font pas forcément confiance mais doivent partager de l'information pour créer de la valeur".
Cette définition de la blockchain donnée par David Manset, CEO de la société Gnùbila spécialisée dans l'édition de logiciels pour la protection des données sensibles, en dit beaucoup sur le potentiel emploi de cette technologie dans le domaine de la santé.
Parmi les "partenaires qui ne se font pas forcément confiance", les hôpitaux et centres de recherches, les patients, les laboratoires pharmaceutiques et plus largement tout industriel de la santé. L'information à partager, c'est la donnée de santé (dossiers médicaux, imagerie, données de vie réelle) et, du fait de sa sensibilité, la "sécurité" et la "traçabilité" permises par la blockchain sont d'un intérêt évident.
"Il y a une curiosité forte, notamment de l'industrie pharmaceutique, vis-à -vis de cette technologie", a confirmé à TICpharma David Manset. C'est la raison pour laquelle le think tank HDI a monté à l'été 2016 un groupe de travail sur l
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