Après une campagne présidentielle qu'il a jugé "aphone" en 2012 sur le sujet du numérique, Godefroy de Bentzmann s'est dit "inquiet" en 2017 face à des candidats à l'Elysée qui, certes, évoquent davantage le sujet, mais "n'ont en réalité pas beaucoup de vision, ni d'ambition" pour accompagner la transformation numérique de l'économie française et donnent l'impression de parler des nouvelles technologies comme d'une "case à cocher dans leur programme".
"Nous sommes en état d'urgence numérique", a-t-il affirmé face à la presse, appelant de ses vœux "un quinquennat de la transformation numérique" qui mette fin au cloisonnement de ce sujet entre les différents ministères et opérateurs publics.
La création d'un Haut-Commissariat à la transformation numérique, placé sous l'autorité de Premier ministre, fait partie des 7 priorités identifiées par le syndicat pour parvenir à ce décloisonnement.
En plus des mesures pour "agiliser" le travail et mettre l'accent sur la formation tout au long de la vie grâce à la technologie, le Syntec a fait figurer parmi ces priorités pour le prochain quinquennat la transformation numérique de l
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