La réforme instaurée par l'article 193 de la loi du 26 janvier 2016 s'annonce comme un bouleversement majeur pour les opérateurs publics collecteurs de données de santé, et pour les acteurs, publics ou privés, intéressés par ces informations.
Regroupement de bases de données diverses (Sniiram, PMSI, CépiDC etc.) au sein d'un même système, changement des modalités d'accès et mise en place d'un "guichet unique", autorisation de nouveaux utilisateurs, création d'un comité d'expertise pour les recherches, études et évaluations dans le domaine de la santé (Cerees)… La mise en œuvre du SNDS au 1er avril est un chantier à la fois organisationnel et technique (voir dépêche du 3 janvier 2017).
Pour s'y préparer, les pouvoirs publics ont créé plusieurs groupes de travail afin de faire remonter les besoins des utilisateurs, anticiper un modèle économique du SNDS et surtout aligner les positions des différentes administrations concernées par le nouveau système.
Du côté des utilisateurs du secteur privé, industriels de santé en tête, la directio
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